
Ca ne vous rappelle rien ?
Impossible d’allumer le poste sans entendre quelqu’un pleurnicher sur la hausse des prix, notamment alimentaires et notamment dans la grande distribution.
La chasse aux coupables est ouverte : certains accusent les distributeurs, l’opacité du calcul des coûts et de la fixation des prix en fin de chaîne ; pour d’autres, l’émergence de nouveaux marchés créé une telle demande qu’il est impossible de contrôler les prix.
La faute aux Chinois et aux Indiens qui veulent se nourrir à l’occidentale et consomment des céréales et des produits laitiers.
Alors ?
L’opacité des prix, des circuits de distribution, l’ouverture à l’Est du marché, la concurrence de consommateurs asiatiques ?
Le thé bien entendu !
Il aurait fallu interroger le marché du thé pour prévoir la suite.
Nous avions un ou deux ans d’avance sur cette discussion, bien avant le pétrole, l’acier, le lait et le blé. En tous cas, bien avant que cela devienne le sujet de conversation préféré des Français.
Aujourd’hui, dans notre petit domaine d’intérêt, les informations commencent à filtrer sur l’origine des produits, une concurrence s’organise et bientôt verrons-nous peut-être de grands opérateurs chinois du monde du thé débarquer chez nous et nous vendre en direct leurs produits, pourquoi pas ouvrir boutique.
Probablement de l’entrée de gamme, de l’industriel assumé, mais peut-être aussi des produits de qualité plus ambitieux qui stimuleront la concurrence et inviteront peut-être nos revendeurs actuels à ajuster leur marge au marché nouveau.
Un avenir peut-être pas si sombre, donc…
Impossible d’allumer le poste sans entendre quelqu’un pleurnicher sur la hausse des prix, notamment alimentaires et notamment dans la grande distribution.
La chasse aux coupables est ouverte : certains accusent les distributeurs, l’opacité du calcul des coûts et de la fixation des prix en fin de chaîne ; pour d’autres, l’émergence de nouveaux marchés créé une telle demande qu’il est impossible de contrôler les prix.
La faute aux Chinois et aux Indiens qui veulent se nourrir à l’occidentale et consomment des céréales et des produits laitiers.
Alors ?
L’opacité des prix, des circuits de distribution, l’ouverture à l’Est du marché, la concurrence de consommateurs asiatiques ?
Le thé bien entendu !
Il aurait fallu interroger le marché du thé pour prévoir la suite.
Nous avions un ou deux ans d’avance sur cette discussion, bien avant le pétrole, l’acier, le lait et le blé. En tous cas, bien avant que cela devienne le sujet de conversation préféré des Français.
Aujourd’hui, dans notre petit domaine d’intérêt, les informations commencent à filtrer sur l’origine des produits, une concurrence s’organise et bientôt verrons-nous peut-être de grands opérateurs chinois du monde du thé débarquer chez nous et nous vendre en direct leurs produits, pourquoi pas ouvrir boutique.
Probablement de l’entrée de gamme, de l’industriel assumé, mais peut-être aussi des produits de qualité plus ambitieux qui stimuleront la concurrence et inviteront peut-être nos revendeurs actuels à ajuster leur marge au marché nouveau.
Un avenir peut-être pas si sombre, donc…