30 septembre 2007









Dans un récent article du New York Times, il était question d'une exposition photographique à New York consacrée à la série de clichés du photographe japonais Kohei Yoshiyuki sur le thème "the park".
Cette série relate un aspect de la vie à Tokyo dans les années 70'.
La ville était si peuplée, les appartements si petits, que les couples allaient dans les parcs faire l'amour, la nuit.
Des voyeurs s'organisaient, parfois en bande, pour observer les couples, les toucher, voir plus...
Toutes proportions gardées, quel message le bloggeur "théophile" entend-il faire passe ?
Pourquoi expose-t-il au regard des autres ses théières ?
Pourquoi les photographie-t-il sous toutes les coutures parfois au moyen de gros plans impudiques pour les livrer au regard plein d'envie des autres amateurs ?
Quel plaisir, quelle satisfaction mentale ou physique en retire-t-il ?
Peut-il y avoir une forme d'excitation à montrer les objets que l'on possède ?
Que la nuit vous porte conseil...

28 septembre 2007


Travaux !

Rappelez-vous du temps pas si lointain pour certains d’entre vous où votre maman disait : « il faut savoir souffrir pour être beau ».
En ce moment, c’est moi qui souffre et c’est mon « chez moi » qui devient plus beau.



Pour un esprit étroit et avide de confort sans aventure comme le mien, l’épreuve est réelle.
Salon sacrifié et reconverti en entrepôt de cuisine, assiettes partout, cartons pleins de verres et et de légumes secs.
Repas improvisés sur d’improbables tables ou même debout, vaisselle lavée dans la baignoire.
Un bonheur pour disciples de Robert Baden-Powell !



Alors, me direz-vous, le thé dans tout ça ?
Peu de temps pour de grandes dégustations, mais des satisfactions grâce au zhong, à sa simplicité d’utilisation, à son insensibilité aux odeurs.
Le plus préoccupant est de protéger les théières et leur terre précieuse des effluves de peinture. On peut rapidement s’habituer à une odeur de peinture et l’oublier, penser qu’elle a disparu.




Les théières, elles, ne l’oublieront pas…